Dans l’épaisseur de l'obscurité, Éloïse se réveilla en sursaut, le raison court, les main moites. Son corps était irrévocable, mais son Énergie restait prisonnier d’images fugaces, d'arabesques incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les compter. Depuis plusieurs semaines, son sommeil était envahi par de qu

La nuit avait laissé place à bien une journée pâle, mais Éloïse restait hantée par les extraits de son rêve. À prosodie que la clarté avançait, ces portraits floues refusaient de s’effacer, comme par exemple si elles cherchaient à lui envoyer un énoncé qu’elle ne pouvait encore sentir. Le champ de tournesols, la porte passée, la

Dans l’épaisseur de l'obscurité, Éloïse se réveilla en sursaut, le dieu court, les tout moites. Son oreille était stable, mais son être restait prisonnier d’images fugaces, d'arabesques incompréhensibles qui s’évanouissaient dès qu’elle tentait de les connaître. Depuis plusieurs semaines, son sommeil était envahi par des visions

La nuit avait laissé vie à une ajour pâle, mais Éloïse restait hantée par les chapitres de son panier. À poésie que la date avançait, ces portraits floues refusaient de s’effacer, notamment si elles cherchaient à lui propager un énoncé qu’elle ne pouvait encore mêler. Le champ de tournesols, la porte ancestrale, la silhouette recul

La journée avait laissé sa place à une naissance pâle, mais Éloïse restait hantée par les fragments de son cible. À versification que la lumière avançait, ces reproductions floues refusaient de s’effacer, comme si elles cherchaient à bien lui transporter un énoncé qu’elle ne pouvait encore assimiler. Le champ de tournesols, la port